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Le résultat d’une partie globalement décevante.
Un manque d’envie étonnant
Alors que les Verts avaient pour ambition de tout tenter pour jouer le podium jusqu’au bout, leur attitude sur le terrain n’a pas vraiment correspondu à ces ambitions. Rapidement pris à la gorge par une grosse agressivité corse, les Stéphanois n’ont pas montré de vrai sentiment de révolte. Embàªtant dans des rencontres si capitales…
Un déchet technique rédhibitoire
Difficile de comptabiliser le nombre de pertes de balle tant elles ont été importantes. Comme expliqué plus haut, le pressing bastiais a été intense, ce qui ne facilite pas les choses, mais le déchet technique des Verts, ce soir n’a pas été habituel. Difficile, dans ces conditions, d’imaginer dicter le jeu
Gradel a été bien seul…
Comme souvent, le principal danger pour les Verts a été Max-Alain Gradel qui a tenté par quelques actes isolés de réveiller les troupes. Mais l’Ivoirien n’a, une fois n’est pas coutume, pas réussi à trouver la faille. Que ce soit Hamouma, Ricky Van Wolfswinkel ou Erding, personne n’a réussi à accompagner l’Ivoirien.
Tabanou, un vrai manque
Franck Tabanou, le latéral stéphanois, manquait à l’appel ce soir, remplacé par Jonathan Brison. L’occasion de constater à quel point l’ancien Toulousain est capital dans le jeu des Verts, notamment offensif. Brison n’a pas l’abattage ni la qualité de centre de Tabanou. Heureusement, il sera là pour les dernières rencontres…
