Invité dans l'émission Luis Attaque hier soir, Jean-Pierre Bernès n'y est pas aller de main morte avec le président de l'Olympique de Marseille, Vincent Labrune, et ses gestions de crise dans la Cité phocéenne.
« Aujourd'hui, l'entraà®neur de l'OM est seul, il assume toute la responsabilité des échecs », note l'ancien dirigeant marseillais aujourd'hui agent de joueurs : « A mon époque, on n'aurait jamais accepté les dérapages de Bielsa de début de saison, avec ses sorties sur le recrutement. Labrune a préféré le calme, c'est une conception, mais nous on n'aurait pas laissé passer à§a. Le métier de président, c'est un vrai métier, et c'est un métier qui s'apprend. »
Pour Bernès, il aurait fallu une autre tàªte pensante aux côtés de Bielsa : « Quand Bielsa est arrivé à l'OM, on aurait dû lui présenter le contexte. Il n'y a pas que le côté technique dans le milieu d'entraà®neur, il y a tout le reste, et Bielsa aurait été mieux avec un directeur sportif. »












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