Après avoir pourtant affiché une nette supériorité sur son grand rival.
Une foule d’occasions
Un tir sur la barre signé Nabil Fékir, un autre de Clinton Njié sauvé sur sa ligne par Loà¯c Perrin… Après un quart d’heure de jeu, la formation rhodanienne s’était déjà procuré davantage d’occasions que les Verts durant toute la rencontre. Seuls un petit manque de réussite et beaucoup de malchance ont privé l’OL d’un avantage plus conséquent au tableau d’affichage avant l’expulsion de Lindsay Rose.
Une volonté constante d’attaquer
On déplore souvent le manque d’ambitions offensives de la plupart des équipes de l’Hexagone. Soulignons donc le courage avec lequel les hommes d’Hubert Fournier, pourtant réduits à dix, ont continué à imprimer leur rythme à la partie et à proposer les attaques les mieux construites. À aucun moment, malgré le carton rouge de Rose, l’OL n’a pensé gérer son avantage. Rien que à§a, cela méritait la victoire.
Fékir et Njié se sont baladés
Si Alexandre Lacazette est finalement resté assez discret, Nabil Fékir et Clinton Njié, eux, ont fait martyrisé l’arrière-garde de Saint-à‰tienne. Plus rapides, plus techniques, plus inspirés que leurs adversaires directs, les deux hommes ont parfois donner l’impression d’évoluer face à des joueurs de division inférieure. Clairement, en qualité pure, la formation rhodanienne était au-dessus de l’ASSE ce dimanche.
Un arbitrage pas très sympa
Passons sur la main et l’expulsion de Lindsay Rose à la 29e minute. La loi est dure mais on la connaà®t. L’égalisation des Verts n’en est pas moins miraculeuse au vu de ce qu’ils avaient proposé jusqu’alors – c’est-à -dire pas grand-chose. On pourra en revanche regretter que M. Ennjimi n’ait pas affiché la màªme sévérité à l’égard de Max-Alain Gradel et Franck Tabanou, auteurs de mauvais gestes après la pause.












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