Et le Bordelais, qui réalise un début de saison prometteur en club, s'est fait bouger pendant toute la rencontre.
Valencia a matyrisé Lucas Orban
Installé dans son couloir naturel, Orban a pris place dans un 4-3-3 qui a énormément souffert de l'absence de Lionel Messi. En fait, l'Albiceleste a souffert des deux côtés puisque Facundo Roncaglia, également testé par Aljeandro Sabella à droite, a eu aussi beaucoup de mal à exister. Orban, lui, n'a jamais pu contenir Antonio Valencia, qui l'a emberlificoté avec ses dribbles et sa puissance.
Sabella passe du 4-3-3 au 4-4-2 pour soulager sa défense
La défense argentine a tellement souffert que le sélectionneur a décidé de faire évoluer son 4-3-3 en 4-4-2 à la pause. Les ailiers qu'étaient Rickey Alvarez et Angel Di Maria, le meilleur des Argentins, ont nettement soulagé l'arrière-garde albiceleste mais ont du coup manqué de poids en attaque. Ce qui sera reproché à l'équipe après coup.
La presse argentine pas tendre avec Lucas Orban
Conséquence directe des reproches, la presse argentine n'a pas vraiment fait de cadeaux à Lucas Orban. « Malgré le changement tactique, Orban a encore souffert avec Valencia, estime le quotidien Clarin. Sabella a voulu faire passer un examen mais que ce soit Roncaglia ou Orban, les deux ont été très loin de saisir leurs chances ». L'autre quotidien phare en Argentine, Olé, n'a pas été tendre non plus. « Sans parler en détails des soucis en défense, les deux latéraux ont peiné. Ils n'ont pas saisi l'opportunité de briller ». Malgré ce premier test raté, Lucas Orban pourrait jouer le deuxième match amical prévu lundi à Saint-Louis contre la Bosnie.
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