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Les points positifs :
– On peut reprocher à Edinson Cavani son manque de réalisme mais il fait toujours autant d'efforts et a encore montré une réelle envie de bien faire, en multipliant les appels et les solutions en attaque. C'est lui qui est là pour offrir le but à Ezequiel Lavezzi (3e).
– A la pause, les Parisiens ont dû se faire secouer car ils ont hissé leur niveau de jeu par la suite. Avant màªme l'entrée de Zlatan Ibrahimovic à l'heure de jeu, ils semblaient remontés et ont joué plus compact et plus haut. Paradoxalement, le schéma en 4-4-2 a fait du bien mais la création de véritables occasions n’était pas encore au rendez-vous.
Les points négatifs :
– La défense n'a pas donné de signes toujours positifs, comme lorsque Nelson Oliveira s'est présenté seul face à Salvatore Sirigu suite à un alignement très étrange, notamment d'Alex, monté à contre-temps (16e). A ce titre, la sanction venue de Foued Kadir quelques minutes plus tard semble màªme logique.
– Autant il a été décisif sur l'action d'Oliveira, autant Sirigu n'est pas exempt de tout reproche sur le deuxième but de Paul-Georges Ntep, auteur d'un coup-franc direct flottant mais largement à sa portée.
– Le collectif du PSG a encore failli. Les mouvements trop rares, les courses trop statiques et les transmissions étaient trop lentes pour surprendre l'arrière-garde rennaise. Javier Pastore, qui brille dans les grands matchs, a déjoué. Yohan Cabaye n'a rien illuminé, màªme par sa passe longue.
Conclusion : On a décidément perdu le grand PSG après l’élimination en Ligue des Champions. Incapables de retrouver un niveau digne de ce nom, les hommes de Laurent Blanc ont rampé vers le titre, offert par l’AS Monaco. Si à§a continue, la fàªte sera amère mais il ne faut pas oublier les 10 superbes premiers mois réalisés par cette équipe.
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