FC Nantes : Ziani dit non à Kita, le plan de survie autour de Castro explose en plein vol !
Désireux d’installer Stéphane Ziani dans le giron de Luis Castro pour encadrer l’entraîneur du FC Nantes, Waldemar Kita a essuyé un refus de l’intéressé.
C’est un nouveau coup dur pour Waldemar Kita et un signe supplémentaire du chaos interne qui secoue le FC Nantes. Alors que le président Waldemar Kita cherchait une solution alternative faute de trouver rapidement un successeur à Luis Castro, l’idée d’une réorganisation en profondeur avait pris forme.
Le FC Nantes souhaitait ainsi confier la direction sportive à Stéphane Ziani, figure respectée de la maison nantaise, actuellement aux commandes de la réserve. Un choix qui devait servir de béquille, voire de plan de survie pour maintenir Castro sous perfusion et redonner une structure cohérente au club. Mais selon les informations d’Ouest-France, Ziani a tout simplement décliné ! Un refus qui tombe comme une claque. Et un signal extrêmement fort.
Still et Antonetti toujours cités
L’ancien meneur du FC Nantes n’aurait pas été convaincu par le projet, ni par les conditions dans lesquelles il devait l’exécuter. Le plan imaginé par Kita consistait à le placer au cœur d’un trio décisionnel, entre le staff de Castro et la direction, avec un rôle majeur dans le recrutement. Une manière de combler le vide structurel du club, d’amener une vision sportive claire… et de redonner un cadre à Castro, de plus en plus fragilisé par les résultats et par un vestiaire qui perd le fil. Mais Ziani, lucide et conscient de la situation interne, a jugé que les conditions n’étaient pas réunies pour mener à bien ce chantier colossal.
Résultat : le plan de stabilisation imaginé par Kita capote totalement. La restructuration attendue n’aura pas lieu. Le FC Nantes reste sans direction sportive. Et Castro, déjà sur un siège éjectable, perd celui qui aurait pu être son bouclier. Ce refus remet une pression énorme sur la direction, qui doit désormais accélérer sur le dossier du futur entraîneur. Will Still et Frédéric Antonetti sont toujours cités.



















