Rejoindre
De quoi laisser des regrets.
Parce que le 4-4-2 avait fonctionné
Michel avait choisi d’aligner un 4-4-2 inédit avec le duo Batshuayi – Fletcher à la pointe de l’attaque. Un dispositif qui devrait àªtre reconduit tant les Marseillais ont réalisé un bon match. S’ils ont souffert un gros quart d’heure en deuxième période, les Olympiens ont globalement maà®trisé le match avec notamment une grosse domination durant le premier acte. L’organisation permet à Batshuayi de bénéficier de soutien, à Fletcher de jouer en déviation et Cabella peut tout de màªme se balader derrière ses attaquants, Isla asssurant notamment le travail de replacement.
Parce que Lassana Diarra a tout de màªme pu rayonner
Avec ce système en 4-4-2, Lassana Diarra doit évoluer dans une configuration différente, sans numéro 10 devant lui. Encore plus livré à lui màªme face à l’entrejeu adverse, Lassana Diarra a tout de màªme pu rayonner au milieu de terrain. Sa capacité à récupérer les ballons et à orienter le jeu grâce à sa qualité technique a encore été précieuse ce soir. Nul doute que les observateurs espagnols ne manqueront pas de souligner ce retour impressionnant de l’autre côté des Pyrénées…
Parce que les latéraux amènent une autre palette
Pour ce match, Michel a pris le risque de titulariser un Benjamin Mendy qui revient tout juste de blessure, permettant ainsi de décaler Javier Manquillo sur son côté droit préférentiel. Et la différence a sauté aux yeux. Nkoudou a bénéficié d’un vrai soutien sur son côté avec un joueur à la capacité de centre du pied gauche. Manquillo, de son côté, était plus isolé vu le placement libre de Cabella, mais a également tenu son côté droit avec sérieux. Les contours d’une équipe-type se dessinent…
