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A noter aussi deux spéciales dédicaces à Paul Baysse, son ancien coéquipier à Brest”¦
Nolan, quels sont vos meilleurs potes dans le foot ?
J'en ai plein. Je ne vais pas tous les citer, mais on va dire Gaël Danic, Mathieu Debuchy, Florent Balmont et Marvin Martin.
Avec quel adversaire vous àªtes-vous le plus accroché sur un terrain ?
Avec Paul Baysse. Pourtant, on a joué ensemble, à Brest. C'était quand il était à Sedan. Paul n'est pas méchant mais physiquement, il y va. Il est là . C'est son jeu.
Le défenseur le plus fort que vous avez affronté ?
Celui qui m'impressionnait à chaque fois, c'est Loà¯c Perrin. Il est intelligent, il défend bien sans faire de fautes.
Le meilleur souvenir de votre carrière jusque-là ?
Mon premier match en Ligue des champions. Tous les joueurs ràªvent d'entendre la petite musique. La montée en L1 avec Brest aussi.
Le pire souvenir de votre carrière ?
Une défaite 6-1 contre le Bayern. Le derby contre Lyon aussi. C'était mon premier. Perdre 3-0 quand tu sens toute cette attente, à§a te met la honte. En plus, il y a eu la blessure de Robert (ndlr : Beric). Un cauchemar.
Votre idole de jeunesse ?
Ronaldo. J'aimais bien. Il marquait plein de buts. Il était beau à voir. C'était la grande classe.
Le meilleur joueur contre qui vous avez joué ?
Robben. Il avait été intenable quand on a pris cette raclée contre le Bayern.
Le coéquipier qui vous a posé le plus de problèmes à l'entraà®nement ?
Paul Baysse, encore lui. Il s'entraà®ne comme il joue, Paul ! Il te rentre dedans. En un contre un à Brest, j'avais du mal à le passer.
Laurent HESS, à Saint-à‰tienne
