Stade Rennais : le passe-droit accordé par la LFP fait grincer des dents
En reportant à une date ultérieure le match entre le Nîmes Olympique et le Stade Rennais, la LFP a mis les Crocodiles sur les dents.
En reportant à une date ultérieure le match entre le Nîmes Olympique et le Stade Rennais, la LFP a mis les Crocodiles sur les dents.
Après s’être imposé à Séville face au Betis jeudi (3-1 ; 3-3 à l’aller), le club breton avait demandé à pouvoir jouer en championnat le dimanche, mais la préfecture du Gard n’a pas exaucé ce souhait par manque de disponibilité des forces de l’ordre, déjà mobilisées le samedi après-midi. Une partie d’entre elles pouvait en revanche être présente le soir sur le match de Nîmes, et la rencontre aurait donc pu se disputer samedi à 20 heures, comme prévu. Mais, le bureau de la LFP a tranché pour un report, favorisant ainsi l’un des trois derniers clubs français en lice en Coupe d’Europe.
De son côté, Nîmes, qui a été obligé d’enchaîner quatre matches en onze jours en janvier, a fait part de son mécontentement : « Ce report a été décidé après la tenue du bureau composé par l’ensemble des présidents de clubs. Soutenu par la préfecture et la DDSP (police) du Gard pour que la rencontre se déroule le samedi 2 mars comme initialement prévu, le club n’a pas eu gain de cause et ne comprend pas cette décision, qui va bouleverser une fois de plus le calendrier et remet en cause le principe d’équité sportive. »
JP
En reportant à une date ultérieure le match entre le Nîmes Olympique et le Stade Rennais, la LFP a mis les Crocodiles sur les dents.
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