Real Madrid : Xabi Alonso a snobé ses joueurs après le Celta, son avenir déjà tranché par Florentino Pérez ?
Le Real Madrid battu au Bernabeu par le Celta Vigo (0-2), des rumeurs d’un départ prématuré de Xabi Alonso se sont de plus en plus insistantes.
Le Real Madrid traverse une zone de turbulence comme il n’en avait plus connue depuis longtemps. La défaite 0-2 hier soir au Bernabéu face au Celta Vigo a laissé des traces profondes et les rumeurs autour d’un départ prématuré de Xabi Alonso se multiplient. L’ambiance est tellement électrique que certains observateurs parlent même d’un véritable début d’implosion interne.
La voiture de Pérez a été la dernière à quitter le Bernabeu…
À la sortie du match, Edu Aguirre, la voix forte d’El Chiringuito, a lâché une bombe en direct. Il affirme d’abord un détail qui en dit long sur la tension du moment : « La voiture de Florentino Pérez a été la dernière à quitter le Bernabeu hier soir et cela est très inhabituel. » Quand le président du Real Madrid reste aussi tard, c’est rarement pour faire de la figuration. Discussions internes, réunion de crise ou simple sidération, impossible à dire… mais le signal est clair : Pérez est furieux. Aguirre a également révélé un vestiaire complètement fracturé. « Il y a eu des tensions dans le vestiaire après le match : certains ont critiqué l’arbitrage et d’autres ont dit que c’était une excuse bidon. »
« Xabi Alonso n’est pas entré dans le vestiaire »
Un Real Madrid qui se déchire entre recherche d’alibis et remise en question profonde, voilà qui n’est jamais bon signe. Mais le point le plus inquiétant reste le comportement de Xabi Alonso. Selon le journaliste, « Xabi Alonso n’est pas entré dans le vestiaire, il n’a eu aucun contact avec les joueurs. » Un coach qui snobe son groupe après une défaite aussi lourde ? Une image catastrophique, et un signe qui alimente toutes les spéculations : malaise personnel, fracture avec le vestiaire, ou simple choc après la déroute ? Quoi qu’il en soit, une chose est sûre : le futur de Xabi Alonso est désormais au cœur des décisions de Pérez. Et cela n’est jamais très bon signe.



















