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Une théorie de nouveau développée par le technicien italien ce samedi dans les colonnes du Financial Times. Ancelotti en profite également pour souligner le manque de cohésion d’un vestiaire longtemps divisés en clans.
‘Le problème des joueurs anglais c'est qu'ils ont parfois du mal à comprendre que l'on ne doit pas àªtre toujours à 100% à l'entraà®nement. Les joueurs franà§ais, c'est l'inverse, ils ne comprennent pas pourquoi ils devraient àªtre à 100% tous les jours, explique l’actuel entraà®neur du Real Madrid. Le PSG, c’était différent de Chelsea ou du Real Madrid, où il y a une bonne organisation et une équipe en place. Au PSG, il fallait tout construire depuis les fondations. (…) Il y avait trois groupes, les Sud-Américains, les Franà§ais et les Italiens. Il a fallu des mois avant d'obtenir des résultats. Les sud-américains aiment jouer ensemble, les Italiens pareil. Il n'y avait pas de culture de la victoire. Quand l'entraà®nement commenà§ait à 11 heures, les joueurs arrivaient à 10h30 et partaient à 12h30. Cela n'a pas été aisé à changer. Il a fallu leur dire : ”˜Vous devez rester après l'entraà®nement, bien vous hydrater, bien manger, bien vous reposer, on ne pas perdre une journée'. Ce fut important de pouvoir compter sur un Zlatan Ibrahimovic, un très grand pro. C'était le modèle à suivre pour les autres à l'entraà®nement.’
Preuve que l’arrivée du géant suédois a transfiguré le club de la capitale à tous les niveaux.
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