Voici les notes des hommes de Laurent Blanc.
Trapp. 7. Somptueuse parade en tout début de match (2e) sur une frappe de Diego Costa, après une faute de relance signée Rabiot. Le gardien allemand, pas vraiment inquiété tout au long de la première période, n’est de surcroà®t pas responsable sur l’égalisation de Diego Costa. Double arràªt exceptionnel en seconde période sur des frappes de Willian et Hazard (64e) alors que le score est encore de 1-1. Déterminant.
Marquinhos. 5. Très ou trop discret durant le premier quart d’heure. En cause, son apport offensif, presque inexistant. Plus haut en seconde période et, surtout, plus disponible. Sans que cela s’avère décisif.
T.Silva. 6. Une présence toujours aussi rassurante en défense centrale. Avec ce positionnement, et cette anticipation, qui lui permettent de ne jamais àªtre pris à défaut (sur Hazard notamment). Manque en revanche d’agressivité sur Costa, lorsque ce dernier le fixe et égalise à la 27e minute.
D.Luiz.5,5. Une très belle intervention, dans sa surface, à la 25e minute, sur l’un des innombrables rushs des attaquants de Chelsea. Trop de relances ratées, néanmoins.
Maxwell. 5. Contre une frappe de Hazard qui aurait pu àªtre dangereuse à la 19e. Mais à l’image de Marquinhos, le latéral gauche du PSG n’a pas assez apporté sur le plan offensif. Témoin, un centre complètement raté sur une véritable opportunité à la 57e. Plus d’espaces en fin de rencontre.
Rabiot. 6. Grosse erreur en début de match avec une relance aussi ratée qu’audacieuse qui aurait pu coûter très cher au PSG. Il se reprend de la meilleure des faà§ons en ouvrant le score après 16 minutes de jeu. Mieux, il a ratissé un grand nombre de ballons et a fait preuve d’une évidente justesse technique. Match réussi.
Motta : 4,5. Pas dans le rythme, dépassé physiquement. 45 premières minutes cauchemardesques avec des erreurs à la pelle. C’est l’un de ses ballons perdus qui permet d’ailleurs à Chelsea d’égaliser. Ce soir, Motta était aux abonnés absents. Seul (bon) point à son crédit : il donne le ballon à Di Maria pour le second but du PSG. C’est tout.
Matuidi. 6. Egal à lui-màªme en début de match avec un pressing haut. Sa hargne est un atout considérable. Y compris lorsqu’il ne parvient pas à s’illustrer sur le plan offensif.
Di Maria. 7. Aurait pu marquer d’entrée de jeu (4e) après une ouverture de Lucas. Un festival, ensuite, de choix judicieux, de bonnes passes et de dribbles réussis. C’est lui qui permet à Ibrahimovic de servir Rabiot pour l’ouverture du score. C’est encore lui qui offre le second but à Zlatan, celui de la délivrance (67e). Un régal.
Ibrahimovic. 7. Statique, en début de match, sur une ouverture de Lucas (9e). C’est ensuite lui qui donne le ballon du but, seul fait marquant de sa première période. Gros point noir : le nombre incalculable de fois ou il a été signalé hors-jeu. Mais que reprocher à un joueur qui offre la qualification au PSG après son second but ? Rien.
Lucas. 7. Il tente, toujours, mais réussit de plus en plus. Surtout, le Brésilien lève a tàªte et sert idéalement ses partenaires. En début de seconde période, alors que le PSG semble dépassé, le Brésilien, lui, provoque et remporte ses duels. Très belle prestation.












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