Parce que le retour de Robinho au Brésil complique sa condamnation à neuf ans de prison pour viol, Dani Alves suscite beaucoup de méfiance auprès des autorités espagnoles.
Alors que Dani Alves a demandé sa libération sous caution dans l'attente de son procès pour le viol présumé d'une jeune femme de 23 ans à Barcelone, l'ancien joueur du FC Barcelone, ses avocats et son entourage essuient pour l'instant refus sur refus des autorités espagnoles.
La raison à cela selon la presse brésilienne ? Le cas Robinho (39 ans), accusé de viol en réunion à Milan en 2013 et qui a été définitivement condamné à neuf ans de prison par la justice italienne depuis janvier 2022.
Seul bémol : depuis l'arrêt de sa carrière en Turquie en 2020, l'ancien joueur du Real Madrid est rentré dans son pays où il n'existe aucun accord d'extradition entre les deux pays. Vendredi, la justice italienne a formulé une demande officielle au ministre brésilien Flavio Dino pour que « l'exécutio de la peine » se fasse au Brésil. Un processus qui pourrait encore prendre plusieurs années...
Même s'il est de bonne foi et qu'il se dit prêt à rester sur le territoire espagnol avec un bracelet électronique, Dani Alves paie ce malencontreux précédent...
Parce que le retour de Robinho au Brésil complique sa condamnation à neuf ans de prison pour viol, Dani Alves suscite beaucoup de méfiance auprès des autorités espagnoles. Il faut dire qu'il n'y a aucun accord d'extradition entre le Brésil et l'un des pays européens concernés.
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