PSG Mercato : Létang montre les dents au LOSC, Paris prêt à lâcher l’affaire pour Chevalier !

Alors que le Paris Saint-Germain pensait pouvoir rapidement boucler l’arrivée de Lucas Chevalier, les discussions avec le LOSC se tendent face à l’intransigeance d’Olivier Létang.
🟧 Piste crédible
Rien ne se passe jamais vraiment comme prévu au PSG, surtout sur le marché des gardiens. Cette fois, c’est Lucas Chevalier qui est au cœur d’un feuilleton tendu. Selon Stéphane Pauwels, le club de la capitale commence sérieusement à perdre patience face aux exigences jugées démesurées du président lillois Olivier Létang.
Le LOSC réclame pas moins de 40 millions d’euros fixes, plus 15 millions en bonus pour libérer son portier formé au club. De quoi faire grimper la note à 55 millions, un montant que Paris juge excessif, d’autant plus que Létang ne semble pas prêt à faire le moindre geste. « Le PSG prend Létang pour un bleu », glisse Pauwels, non sans ironie, en rappelant que le président nordiste connaît parfaitement les rouages du marché et ne compte pas brader l’un de ses joyaux.
Le LOSC montre les dents
Derrière cette position ferme, une logique assumée : Lille ne vit pas dans l’urgence de vendre. Chevalier est sous contrat, le club est en bonne santé financière, et son départ n’est pas une nécessité absolue. Létang, lui, estime même que les montants réclamés sont cohérents au regard des précédents du marché, où certains gardiens de niveau moyen ont été vendus à prix d’or.
Du côté de Paris, on commence à explorer d’autres pistes. La menace d’un retrait pur et simple des négociations est réelle. Si les discussions devaient échouer, cela pourrait redistribuer les cartes dans la hiérarchie des gardiens ciblés par le PSG, alors que le futur de Donnarumma n’est pas totalement assuré.
« Le coup d’œil de But FC »
« Ce bras de fer est loin d’être terminé. Le PSG devra trancher : payer le prix fort pour un espoir français qui coche toutes les cases, ou laisser filer une cible nationale et réorienter sa stratégie. Pendant ce temps, à Lille, on ne tremble pas. »