ASSE : Davitashvili retenu à prix d’or… Il fait déjà exploser sa valeur !

Il était tout proche de la sortie, mais Zuriko Davitashvili a prouvé contre Montpellier pourquoi Saint-Étienne a eu raison de le bloquer cet été.
Avec un doublé décisif face à Montpellier (2-0), l’ailier géorgien a fait taire les doutes et relancé les Verts dans la course à la montée et la première place. Un véritable message envoyé à ceux qui pensaient que son histoire avec l’ASSE était terminée.
15 millions demandés : le pari fou de Saint-Étienne
Pendant tout l’été, Besiktas et West Ham ont tenté de le faire craquer. Mais face aux offres timides venues de Turquie et d’Angleterre, la direction stéphanoise a tenu bon.
Selon L’Équipe, Kilmer Sports Ventures a fixé la barre à 15 millions d’euros minimum pour laisser filer son joyau, bien loin des 20 M€ annoncés par la rumeur, mais suffisamment élevé pour refroidir tout le monde.
Un montant jugé “déraisonnable” par certains à l’époque… mais qui paraît presque faible aujourd’hui. Avec 4 buts en 8 matchs, une influence grandissante et des prestations qui font la une des médias géorgiens, la cote de Davitashvili explose.
Horneland avait vu juste
Son entraîneur Eirik Horneland ne s’en cache pas :
“Zuriko fait partie de ces joueurs incontournables pour moi. On savait qu’il serait important pour faire la différence, et on a tout fait pour le garder.”
Et le technicien stéphanois peut se frotter les mains.
Car au rythme où vont les choses, le joueur de 24 ans pourrait valoir bien plus que les 15 M€ réclamés cet été. Plusieurs sources en interne estiment déjà que sa valeur pourrait grimper à 20 M€ dès la fin de la saison, surtout en cas de montée en Ligue 1.
Vers un nouveau transfert record ?
Sous contrat jusqu’en 2028, Davitashvili est désormais l’un des actifs les plus précieux du club.
Et s’il continue sur ce rythme, l’ASSE pourrait bien tenir sa future plus-value record, sans compter la vente potentielle de Lucas Stassin qui le dépassera à n’en pas douter…
L’idée d’un départ en 2026 commence déjà à circuler dans les couloirs de l’Étrat…