Oughourlian, Leca, Fofana… énormes révélations sur la connexion RC Lens – Stade Rennais !

Si le Stade Rennais compte actuellement plusieurs anciens du RC Lens dans ses rangs, le compte aurait pu s’alourdir ces derniers mois !
Ce dimanche, le RC Lens se déplace sur la pelouse du Stade Rennais, pour une affiche entre deux clubs qui commencent à entretenir une certaine rivalité. En effet, le SRFC a hérite du surnom moqueur de « Racing Club de Rennes » par les supporters lensois, étant donné que le club breton compte plusieurs anciens Artésiens dans ses rangs.
Joseph Oughourlian a voulu faire capoter la venue d’Arnaud Pouille
Avec Arnaud Pouille et Alexandre Pasquini comme dirigeants, Brice Samba, Seko Fofana, Przemyslaw Frankowski, et Ayanda Sishuba (prêté à Montpellier) comme joueurs, et Laurent Bessière, Ghislain Dubois, Myretha Guibert, ainsi qu’Hervé Sekli dans le staff, Rennes a effectivement des allures lensoises.
L’Équipe rapporte d’ailleurs que Lens disposait d’un droit de rachat prioritaire pour Seko Fofana, qu’il n’a finalement pas activé. Autre grosse information : Joseph Oughourlian, président lensois, aurait tenté, sans succès, de convaincre la famille Pinault de ne pas confier les clés du club breton à Pouille, nommé en octobre 2024. Mais ce dernier a finalement imposé sa patte, misant sur des cadres aguerris de Ligue 1, parmi lesquels d’anciens Lensois.
Jean-Louis Leca a postulé au Stade Rennais
Mais ce n’est pas tout, le quotidien sportif révèle également que Rennes aurait pu compter d’autres figures artésiennes dans ses rangs, à savoir Benjamin Parrot, actuel directeur général de Lens, ainsi que Jean-Louis Leca, qui avait postulé à un poste de directeur sportif quand Rennes cherchait à remplacer Frederic Massara, qui a quitté le club en mai dernier (c’est finalement Loïc Désiré qui a été nommé). De son côté, Pierre Sage, libre à cette époque, fut une option en janvier avant que le club ne choisisse Habib Beye.
À l’heure d’affronter le Racing Club de Lens, Rennes cristallise malgré lui un parfum de revanche. Pour certains supporters nordistes, voir Pouille et ses anciens complices reconstruire ailleurs avec les mêmes recettes est une forme de trahison. Pour Rennes, c’est l’opportunité de capitaliser sur une expertise qui avait conduit Lens jusqu’au rang de vice-champion de France en 2023.