PSG : Walid Acherchour détruit la prestation de Lucas Chevalier face à Tottenham
Un match, une phrase… et une polémique qui enfle
La soirée du PSG aurait pu être parfaite après le résultat obtenu face à Tottenham. Mais une prestation a tout éclipsé : celle de Lucas Chevalier, encore pointé du doigt pour ses difficultés à s’imposer comme un gardien rassurant au plus haut niveau.
Et cette fois, c’est Walid Acherchour qui a violemment relancé le débat.
“Plus ça avance, plus ça pue le flop”
Sur les réseaux et en plateau, l’analyste n’a pas mâché ses mots :
« Chevalier, plus ça avance, plus ça pue le flop. Il n’inspire aucune peur à l’adversaire mais la peur à tous ses supporters et coéquipiers. »
Une punchline qui agit comme une détonation dans le paysage médiatique, tant le gardien du PSG était déjà sous pression depuis plusieurs semaines.
“Une frappe = un but”
Walid Acherchour en a rajouté une couche, ciblant un point précis et récurrent :
« UNE FRAPPE = UN BUT. Il a tout perdu de ce qu’il avait à Lille. Il est encore sauvé par le résultat ce soir… »
Selon lui, Chevalier n’affiche plus les réflexes, la sérénité et la capacité à tenir un match qu’il avait démontrés dans le Nord. Un constat brutal, mais partagé par une partie des supporters, frustrés par l’impression de fragilité défensive que dégage le gardien.
Un PSG toujours en quête de certitudes dans ses buts
Ce qui inquiète, ce n’est pas seulement le commentaire en lui-même, mais sa récurrence : match après match, la question du gardien numéro un continue de revenir. Le PSG pensait avoir trouvé une solution stable en misant sur Chevalier… mais les performances actuelles entretiennent le doute.
Si les résultats continuent d’accompagner Paris, la situation pourrait être étouffée quelque temps. Mais à la moindre contre-performance, le débat pourrait exploser de nouveau.
Chevalier sous pression maximale
Sauvé par le score mais pas par son niveau de jeu, Chevalier fait désormais face à un double défi :
- Retrouver la confiance perdue,
- Convaincre médias, supporters… et probablement son propre staff.
Car une évidence s’impose : au PSG, la patience n’est jamais très longue.



















