RC Lens : Pierre Ménès promet la tête de la Ligue 1 aux Sang et Or en fin de saison ! 

Abdallah Sima (RC Lens)
Bastien Aubert
5 octobre 2025

Pierre Ménès a livré une analyse dithyrambique du RC Lens au lendemain de sa victoire arrachée à Auxerre aux forceps (2-1). Pour lui, la saison s’annonce de grande qualité en Artois.

Le RC Lens ne lâche rien. C’est le mot d’ordre diffusé par Pierre Sage depuis son arrivée sur le banc cet été. Et les résultats suivent. Après avoir éparpillé le LOSC à Bollaert (3-0), les San et Or viennent de prendre quatre points loin de leurs bases en signant un succès aux forceps hier à Auxerre (2-1). 

Pour Ménès, le rouge de Ganiou est justifié

Pierre Ménès s’est à moitié régalé. « On a eu droit à un match très agréable dans un premier temps entre deux équipes qui pratiquent un football très direct et engagé. Cela a été coup pour coup durant tout le match, a-t-il analysé sur sa chaîne Youtube. En seconde période, le match a été moins agréable à suivre. J’ai même trouvé assez triste en termes d’état d’esprit. Beaucoup de coups énormément sanctionnés par Letexier. Les avertissements et le rouge de Ganiou me semblent totalement justifiés. »

« Il va falloir compter sur Lens jusqu’en fin de saison »

Au-delà de la rugosité de la rencontre, Ménès a préféré s’attarder sur la qualité du jeu du RC Lens produit depuis le début d’une saison qui s’annonce de grande qualité pour les Sang et Or. « On sentait qu’Auxerre avait les moyens de pousser et que les Lensois allaient encore être sanctionnés par leur manque d’efficacité offensive, comme à Rennes, s’est-il rappelé. Et puis une magnifique tête décroisée de Sima a offert une victoire qu’ils méritaient à Rennes et peut-être un peu moins à Auxerre mais c’est le foot. En tout cas, cette équipe de Lens fait un très, très bon début de saison sur laquelle il va falloir compter jusqu’à la fin de saison parce qu’ils ont des moyens devant, de la solidité derrière, des très bons joueurs au milieu notamment Sangaré. Ils ont surtout un très bon entraîneur avec Pierre Sage. Il y a de quoi faire. »

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