Real Madrid : Bellingham recadré et encore dans la tourmente !
L’ambiance s’est tendue chez les Three Lions. Malgré une qualification éclatante pour le Mondial 2026, l’Angleterre se retrouve au cœur d’une tempête médiatique, la faute à Jude Bellingham. La superstar du Real Madrid, habituellement encensée, a vu son statut contesté, notamment après l’intervention ferme de Thomas Tuchel, ouvrant la voie à un débat brûlant sur son rôle et son influence en sélection.
L’Angleterre qualifiée mais frappée par la polémique Bellingham
Sur le terrain, tout semblait rouler pour l’Angleterre, solidement qualifiée après une campagne de qualifications quasi parfaite. Mais une scène survenue lors du succès 2-0 face à l’Albanie a tout changé. À la 84e minute, Jude Bellingham, remplacé, a quitté la pelouse avec des gestes d’agacement évidents, sans masquer son mécontentement devant les caméras. Un signe interprété comme un manque de respect, qui contraste avec l’image lisse et fédératrice que la jeune pépite de 20 ans voulait incarner.
Ce geste n’a pas tardé à faire la une outre-Manche et a jeté un brusque froid sur la belle dynamique collective entretenue par Thomas Tuchel. Tandis que le retour de Jude Bellingham au Real Madrid est déjà scruté à Madrid, son avenir en équipe nationale s’obscurcit d’un nuage d’incertitude.
Tuchel recadre son leader et la presse s’enflamme
Face à ce comportement, la réaction du sélectionneur n’a pas tardé. Tuchel, réputé pour sa rigueur, n’a rien laissé passer et a froidement recadré son joueur : il attend de Bellingham qu’il accepte chaque choix, pour le bien du collectif.Une posture ferme qui n’a laissé aucune place à l’ambiguïté.
La presse anglaise, elle, s’est vue offrir un terrain de jeu rêvé pour relancer le débat. Plusieurs voix appellent désormais à relativiser l’importance de Bellingham, voire à mettre en doute sa convocation pour le Mondial. Extraits d’un climat électrique :
- Certains éditorialistes plaident pour que l’Angleterre parte sans lui, pointant son attitude “capricieuse”.
- D’autres estiment que le brassard et le rôle de leader doivent changer de propriétaire : Bellingham ne serait plus “intouchable”.
- L’idée prend forme que la priorité doit aller à la cohésion, quitte à écarter une star en pleine lumière.
Même chez les supporteurs, la division s’installe, alors que Bellingham reste adulé par les fans de la Casa Blanca. L’épisode laisse entrevoir une rupture d’unanimité, inédite pour celui qui était, il y a peu, un moteur incontestable de l’attaque anglaise.
Quel avenir pour Bellingham chez les Three Lions ?
La menace d’une mise à l’écart pure et simple de Bellingham pour les États-Unis alimente le suspense autour de l’été prochain. Le joueur va désormais devoir regagner la confiance d’un pays qui l’observe sous un nouveau prisme, toutes générations confondues.
Sa saison madrilène, jusque-là prometteuse, pourra-t-elle suffire à renouer les fils ? Le staff technique, porté sur l’exigence collective, cherche désormais plus de stabilité. Dans ce contexte, la question de la légitimité de Bellingham comme leader des Three Lions n’a jamais été aussi débattue, malgré sa reconnaissance acquise au Real Madrid. Sur la sellette, son influence pourrait bien s’effriter si les tensions venaient à s’envenimer d’ici le Mondial.
- Ses statistiques brillantes en club ne garantissent plus son statut en sélection.
- La relation avec Tuchel, perçue comme distante, fragilise sa position.
- L’opinion nationale, plus critique, attend désormais un comportement exemplaire.
Cet épisode rappelle que, même au sommet, rien n’est jamais acquis. Bellingham est prévenu : la route vers le Qatar, quoiqu’ouverte, s’annonce nettement moins linéaire et bien plus exposée à la moindre incartade.
Pour suivre d’autres temps forts sur la situation en sélection anglaise ou les prises de positions de l’entraîneur, découvrez comment Thomas Tuchel recadre Jude Bellingham en sélection anglaise et les conséquences que cela pourrait avoir sur le groupe.



















