Stade Rennais : « Il est mort dans le film », Daniel Riolo lâche une bombe sur l’avenir d’Habib Beye !

Arrivé avec l’ambition de redresser un club en perte d’identité, Habib Beye vit déjà ses heures les plus compliquées sur le banc du Stade Rennais. Et selon Daniel Riolo, il n’en a plus pour longtemps sur le banc breton.
Daniel Riolo a lâché une véritable bombe hier soir en dévoilant des tensions internes explosives et un vestiaire du Stade Rennais au bord de la rupture. Le consultant de RMC Sport n’a pas mâché ses mots. « Comme tous les entraîneurs passés à Rennes, Habib Beye est en difficulté parce que le pouvoir est morcelé. On ne sait pas où est le pouvoir », explique-t-il, avant de dérouler un récit digne d’un scénario catastrophe.
« Beye est mort dans le film »
Selon lui, deux cadres du vestiaire – Brice Samba et Seko Fofana – seraient en guerre ouverte avec leur entraîneur. Et les deux auraient décidé de le faire tomber. « Ces deux-là ont décidé qu’ils auraient sa peau. Donc, je vous le dis : Beye est mort dans le film. Ils trouvent que ce n’est pas un bon coach », lâche Riolo sans détour. Une phrase choc qui en dit long sur la situation. L’ancien défenseur de l’OM, présenté comme un meneur d’hommes proche de ses joueurs, serait aujourd’hui totalement isolé. Seul Valentin Rongier, fraîchement arrivé cet été, lui apporterait encore un vrai soutien. Les tensions auraient atteint un point de non-retour après le match rageant contre le RC Lens.
Samba et Fofana veulent la peau de Beye
Toujours d’après Riolo, Samba et Fofana se seraient rendus dans le vestiaire lensois après le match… pour critiquer ouvertement leur coach devant des adversaires ! Un geste qui en dit long sur la fracture entre le staff et le vestiaire. « Beye a essayé de faire des réunions avec certains joueurs, mais ils ont refusé », poursuit le journaliste, révélant un climat explosif en interne. Au-delà du cas Beye, c’est tout le fonctionnement du Stade Rennais qui est une nouvelle fois pointé du doigt. Daniel Riolo insiste sur ce « pouvoir morcelé » qui gangrène le club depuis des années. Pour Beye, la situation devient donc intenable. Son sort semble scellé.